La ministre de l’Emploi, Travail et Prévoyance Sociale, Claudine Ndusi Ntembe a présenté vendredi 8 mars, l’état des lieux de la réforme de l’Inspection Générale du Travail.
Dans son point d’information, la ministre a précisé que cette réforme s’appesantit sur quatre axes notamment le recrutement, la formation, le déploiement et l’équipement.
À ce jour, note-t-elle, plusieurs actions ont été réalisées. Il s’agit entre autres du recrutement des nouveaux inspecteurs et contrôleurs du travail ainsi que 2379 agents de l’administration de l’IGT admis sous statuts en collaboration avec le ministère de la Fonction Publique; la modernisation de l’administration et innovation; la formation initiale ainsi que le déploiement et l’affectation de nouveaux inspecteurs du travail.
Peu avant de clore son intervention, la ministre Claudine Ndusi a également fait part de certains défis liés au plein succès de cette réforme qui nécessite d’importants moyens financiers afin de pallier tous les déficits au sein de ce service de l’IGT.
Le projet de Réforme de l’Inspection Générale du Travail qui s’articule autour de quatre axes à savoir : le recrutement, la formation, le déploiement et l’équipement a été adopté le 02 octobre 2020.
Rebecca NUMBI
Bonjour !! Je suis une nouvelle recrue de cette réforme, depuis que nous avions fini la formation citée ci-haut en 2023 nous ne sommes pas prises en charge. Le transport vers le site des formations étaient à nos propres charges (pas de perdième après), nous sommes déployés pour se rendre au lieu d’affectation toujours avec nos propres frais, pour prêter serment devant le procureur selon l’article 194 du code de travail afin d’exercer librement nos fonctions nous payons encore une somme énormément à la cour d’appel (toujours avec nos propres moyens), et voilà encore que nous partons signer les présences chaque matin (toujours avec nos propres moyens)… La réforme n’est que bonne pour le dire ?! En quoi ce processus est-il de la réforme !?
C’est d’une réforme ça.les gens sont déploient dans d’autres province sans aucun franc congolais.alors qu’ils ont des famille et ils ne savent pass quand ils seront payer